Il est indigne qu’un hêtre humain se rendre à des spectacles dégradants et morbides, qui font la promotion de la violence et méprisent la vie.
Il n’est pas question ici de sensiblerie. Il est question de dignité humaine, de respect de la vie. Tuer pour le plaisir, pour jouir de la vue et de l’odeur du sang, même un animal ne le fait pas à moins d’être taré.
Si toutes les coutumes imbéciles devaient être gardées en souvenir de notre passé et de notre histoire, alors il faut rétablir les séances de roues ou de pendaisons pour nous rappeler l’époque mérovingienne, et pourquoi pas aussi au non de la tradition autoriser l’excision pour les petites filles.
Au nom de la culture, il n’est pas possible de cautionner de tels spectacles. Le ministère de la culture doit-être un des ambassadeurs de la non-violence et du respect de la vie.